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En lisant le billet d'Eric Chevillard dans le Monde des livres, billet dans lequel il regrette l'omniprésence dans le champ littéraire de romans aux intrigues trop bien huilées, aux personnages stéréotypés au destin trop attendu..."ce roman qui voudrait en somme nous faire accroire que tout écrivain ne peut être que romancier"...en lisant ce billet, donc, j'ai repensé à Chloé Delaume, à Nicole Caligaris et à tous les écrivains défendus sur ce blog.

Et j'ai repensé au dernier roman de Tanguy Viel, *La Disparition de Jim Sullivan.
*
Dans ce roman, Tanguy Viel joue avec les poncifs du "roman international" tout en nous démontrant la force si particulière du roman et des romanciers français. A savoir l'art de mêler intrigue, narration et réflexions sur l'art du roman.

Chapeau l'artiste !!