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Un petit conseil : avant de céder aux sirènes napolitaines de janvier, jetez-vous sur La coupe de bois de Carlo Cassola. Ecrit en 1953, traduit pour la première fois en 1963 par Philippe Jaccottet, les Editions Sillage nous le (re)donne à lire. Un texte sec et direct comme un coup de hache. Tout le roman tend vers cette question essentielle : qu'est-ce qui est le plus difficile à abattre ? L'arbre ou le chagrin ?