L'orangeraie
Ce court roman dont Sorj Chalandon fait l'éloge ne pouvait pas m'échapper...et comment ne pas penser à Sorj Chalandon en lisant ce roman de Larry Tremblay tant le récit nous offre en 180 pages la force d'une tragédie, le plaisir d'une écriture ciselée et une réflexion sur l'extrême difficulté de rendre universelle la douleur de la guerre.
La grande qualité de ce roman n'est pas seulement dans les mots que nous lisons page après page...mais peut être dans l'émotion durable que cette lecture inscrit en nous.
(Prix des libraires du Québec 2014)