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Le coût de la vie est la suite, au combien précieuse, de Ce que je ne veux pas savoir. La femme, l'auteure, la mère partage ici ses réflexions sur la création littéraire, ses conditions de réalisation souvent bousculées par les nécessité du quotidien. Déborah Levy est une équilibriste ne tombant jamais dans les écueils de la pensée feministe. Son exigence n'est jamais pédante, sa désinvolture est revigorante et ses pensées sont la pertinence même, l'humour est son fil conducteur.