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Le bienheureux lecteur, en refermant Un ciel rouge, le matin, peinera à croire que ce roman est le premier de Paul Lynch tant l'auteur sait mêler admirablement la tension narrative et l'attention poétique au monde. Cette chasse à l'homme entre l'Irlande et les États-Unis peut rappeler McCarthy mais il évoque surtout l'univers d'un Terrence Malick partagé entre poésie et violence :

"D'abord il n'y a que du noir dans le ciel, et ensuite vient le sang, la brèche de lumière matinale à l'extrémité du monde."

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